L'extension maximale annuelle de la banquise arctique avait été atteinte le 7 mars dernier avec 14,42 millions de km², soit un nouveau record bas depuis le début des mesures satellitaires en 1980. Cette tendance extrême ne s'est pas confirmée depuis, la fonte des glaces se révélant plus limitée cet été. Ainsi, l'extension minimale annuelle, atteinte le 13 septembre dernier avec 4,64 millions de km², "n'est que" la 8ème valeur la plus faible des mesures, loin devant les 3,4 millions de km² en 2012 mais encore très inférieure à la médiane 1981 / 2010 (>>).





La période d'étude reste bien entendu négligeable par rapport à l'histoire de notre climat mais se révèle significative à l'échelle de notre génération.